Rigal : la maturité Antoine, depuis Laval, je t'avais perdu de vue. 10 ans déjà. Rennes, Paris... Ta vie difficile, la disparition douloureuse de ton père. Toi-même, papa. Et par-dessus tout ça, ta peinture qui nous arrivait, évidente et compliquée, comme toi. Te revoici en Mayenne. Tout entier dans ton oeuvre, direct. Le souvenir de ton père est tatoué sur ta poitrine par la grâce de Stani Nikowski. Ton fils t'illumine. Antoine, tu sembles apaisé, si ce mot peut convenir à un homme qu'il va bien falloir reconnaître comme un artiste majeur de la Création franche, un Grand, quoi ! Jean Chevalier. |